Mon sale rendez-vous de vacances passe-temps se termine par une baise torride et un creampie pour la fille bien roulée Lina Love.
L'éclairage était faible alors que Maîtresse Laris traversait le long couloir carrelé. La lumière provenait des lucarnes qui bordaient le plafond du hall. Le couloir lui-même mesurait plusieurs centaines de pieds de long et reliait la maison familiale à trois étages de Maîtresse Laris à l'entrée des bains publics. Il y avait sept structures principales sur le domaine, la maison familiale Laris à trois étages, les bains publics eux-mêmes qui étaient le plus grand bâtiment de la propriété, la garnison des soldats de Laris et quatre grands quartiers d'esclaves d'un étage pouvant accueillir chacun jusqu'à cent esclaves. Autour du domaine se dressait un mur de pierre de trente pieds tenu par la petite armée privée de la famille, mais extrêmement bien entraînée et loyale. La Maîtresse sortit du couloir et entra dans la maison de sa famille alors qu'elle marchait. Les esclaves s'agenouillèrent et regardèrent délibérément le sol, ne voulant pas établir de contact visuel avec la belle Maîtresse de la maison. Son invité était déjà arrivé et attendait dans le salon et en entrant dans la pièce, elle l'a senti avant même de voir l'homme obèse.
Il sentait fortement l'odeur corporelle, tout comme les soldats qui accompagnaient le gros homme. L'homme et son entourage avaient voyagé pendant plus d'une journée depuis la capitale et ils resteraient une semaine. En entrant, elle a souri au grand homme en sueur et a salué le sénateur Goodwin. J'espère que la route n'a pas été longue. Le sénateur Goodwin a vu devant lui la petite femme aux cheveux noirs et à la peau olive et a répondu d'une voix rude : la route est toujours longue mais mon séjour avec vous est toujours trop court. Eh bien, nous visons à plaire et sur ce, elle s'est retournée et a dit de cette façon, sénateur. Tandis qu'elle marchait, Maîtresse Laris informa son invité très riche et influent que sa friandise habituelle aux bains publics était prête pour lui et qu'elle avait obtenu une douzaine de nouvelles filles au cours des deux derniers jours et qu'il pouvait, s'il le désirait, l'aider dans leur formation.
L'entreprise familiale Laris se livrait à la prostitution depuis cent cinquante ans et Maîtresse Laris était une madame de quatrième génération. Les bains publics étaient l’un des meilleurs, sinon le meilleur bordel, de tout l’Empire. Ce qui a fait le succès des bains publics Laris au cours du siècle dernier, c'est leur engagement envers le confort de leurs clients. Le luxe offert par le bordel, depuis les spas jusqu'à la nourriture, était de loin supérieur à celui de la plupart des bonnes auberges. L'autre chose qui a fait le succès de la famille était la sélection unique de putes qu'elle proposait. Maîtresse Laris n'a jamais acheté ni formé un enfant de plus de huit ans pour qu'il devienne une pute dans les bains publics. Et il n’y avait pas un seul enfant de plus de douze ans dans les bains publics. Lorsqu'ils atteignaient l'âge de treize ans, les enfants étaient généralement vendus comme esclaves sexuels dans des maisons privées ou vendus à d'autres bordels à un prix très élevé.
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