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Nous étions à la mi-décembre, trois jours avant la fermeture des cours pour Noël. Les journées étaient devenues vraiment courtes, et si on vivait au milieu d'une forêt de béton comme moi, il faisait vraiment froid. J'étais alors en deuxième année, j'avais passé les examens de fin de semestre et j'essayais de profiter des quelques jours qui nous restaient avant de rentrer tous chez nous. Mais on ne peut en profiter autant qu'avec une auberge vide, la plupart de mes camarades étant déjà partis alors que l'université était toujours ouverte. Ce n’est pas le cas pour moi, mes parents m’envoyaient le billet électronique le jour même de la fermeture du collège.
Maudisant ma chance, je me suis assis dans la grande salle, entièrement à moi maintenant, le seul gars restant passant son temps avec sa petite amie dans un endroit secret. Je n'avais pas de petite amie à l'époque et, assise dans le couloir vide, je me demandais si j'aurais dû faire plus d'efforts pour en avoir une. Et couplé au froid, cela m'a rendu très excitée. Comme pour se moquer de ma situation, une bande de filles (c'est des oies je sais en tout cas) est passée sur la route devant l'auberge, en direction du collège. Je ne les ai pas reconnus et je les aurais ignorés sans mon nez qui avait choisi de s'affirmer à ce moment précis. L’explosion qui en a résulté a attiré leur attention et, après s’être renseigné, ils m’ont trouvé en train de m’essuyer le nez à la hâte. Cela les fit éclater de nouveau rire et ils repartirent. Je me suis dit, mon esprit évoquant des images de filles nues sur le dos, se faisant baiser durement par mon.....
L'horloge m'a dit qu'une autre heure avait été supprimée de mon existence solitaire. J'étais toujours assis, le nez qui coule, aussi seul qu'avant. Pour aggraver les choses, j'ai découvert que j'éternuais maintenant à intervalles rapprochés et je me suis dirigé vers l'armoire à pharmacie pour chercher quelque chose. Ceci fait, je retournai dans ma chambre pour me rafraîchir, faire face aux nombreux mucosités et décider de ce que je ferais pour le reste de la journée. Cela m'a pris encore une heure, car les éternuements se sont révélés trop résistants pour qu'un seul comprimé puisse agir. Quand j'ai finalement eu fini, j'ai décidé, contre tout bon sens, de me rendre au collège et de voir s'il y avait quelqu'un dans les parages.
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